Mon fils, tu ne veux pas admettre que tu es plus agressif que moi lorsque j’avais ton âge.
D’abord, contrairement à toi dont les enseignants se plaignent tout le temps : pour mauvaise conduite à l’école, pour négligence de ton travail et même parfois pour manque de respect envers tes camarades et tes professeurs ; moi, je n’ai jamais mis mes parents dans une situation embarrassante car ils n’ont jamais été convoqués par le directeur de mon école. D’ailleurs, mes enseignants n’ont connu mon père que lors des rares réceptions organisées à l’honneur des bons élèves dont je faisais partie.
Ensuite, étant jeune, j’avais de très bonnes relations avec mon père, mes frères, mes cousins et même mes voisins si bien que tous les gens de mon village m’aimaient. Mon père m’a appris, aussi, que je ne pouvais être respecté que si je respectais les gens. Par contre toi, tu me sembles indifférents à tous ceux qui t’entourent. Ne penses-tu pas que tu nous fais du mal ?
Enfin, quand tu es venu au monde, je pensais faire de toi un fils dont je serais plus fier que mon père ne l’était de moi. Mais, sache que même si tu n’écoutes pas mes conseils je t’aime parce que tu es mon fils.
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A la question : « Que voulez-vous faire plus tard ? », je répondis : « Etre un auteur célèbre »
La première raison, c’est l’admiration que j’avais pour les grands écrivains. En effet, mon père pense qu’ils sont supérieurs aux savants, aux chercheurs, aux professeurs. Je suis convaincue, moi aussi de leur suprématie.
La deuxième raison est que les œuvres des spécialistes ne s’ouvrent qu’à un petit nombre mais les livres, tout le monde les lit : ils touchent l’imagination et le cœur.
En outre, je dois dire que j’avais toujours le goût de la communication. Par exemple, je citai comme divertissements favoris : la lecture et la conversation.
J’avais compris très tôt aussi que les romans, les nouvelles et les contes ne sont pas des objets étrangers à la vie mais qu’ils l’expriment à leur manière.
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Amine entretient un dialogue avec son père afin de le convaincre d'installer une connexion Internet à domicile
Amine: Voyons père ! Nous sommes les seuls dans le quartier à être privés d'une connexion à domicile. Quand le professeur me charge de faire un exposé, je suis obligé d'aller au cyber du quartier. Ne voyez-vous pas que c'est une perte de temps ?
Père: Pas question ! Veux-tu me faire accroire qu'une connexion à domicile économise le temps ? Au contraire, c'est une véritable perte du temps. Passer une nuit blanche devant l'écran en train de chatter au détriment des devoirs scolaires, que nommes-tu cela ?
Amine: Pas forcément cher père. Il ne faut pas généraliser. L'Internet, je l'avoue, est une arme à double tranchant. Je comprends bien vos soucis cher père. Vous craignez que je ne puisse pas conjuguer l'étude avec les loisirs. Mais, rassurez-vous, je vous promets de bien gérer mon temps.
Père : Je suis d'accord, mais à condition que tu me promettes de bien organiser ton temps. Si jamais tu as une mauvaise note, tu seras impitoyablement sanctionné: Je résilierai l'abonnement sur-le-champ.
Amine: Que vous êtes formidable père !
D’abord, contrairement à toi dont les enseignants se plaignent tout le temps : pour mauvaise conduite à l’école, pour négligence de ton travail et même parfois pour manque de respect envers tes camarades et tes professeurs ; moi, je n’ai jamais mis mes parents dans une situation embarrassante car ils n’ont jamais été convoqués par le directeur de mon école. D’ailleurs, mes enseignants n’ont connu mon père que lors des rares réceptions organisées à l’honneur des bons élèves dont je faisais partie.
Ensuite, étant jeune, j’avais de très bonnes relations avec mon père, mes frères, mes cousins et même mes voisins si bien que tous les gens de mon village m’aimaient. Mon père m’a appris, aussi, que je ne pouvais être respecté que si je respectais les gens. Par contre toi, tu me sembles indifférents à tous ceux qui t’entourent. Ne penses-tu pas que tu nous fais du mal ?
Enfin, quand tu es venu au monde, je pensais faire de toi un fils dont je serais plus fier que mon père ne l’était de moi. Mais, sache que même si tu n’écoutes pas mes conseils je t’aime parce que tu es mon fils.
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A la question : « Que voulez-vous faire plus tard ? », je répondis : « Etre un auteur célèbre »
La première raison, c’est l’admiration que j’avais pour les grands écrivains. En effet, mon père pense qu’ils sont supérieurs aux savants, aux chercheurs, aux professeurs. Je suis convaincue, moi aussi de leur suprématie.
La deuxième raison est que les œuvres des spécialistes ne s’ouvrent qu’à un petit nombre mais les livres, tout le monde les lit : ils touchent l’imagination et le cœur.
En outre, je dois dire que j’avais toujours le goût de la communication. Par exemple, je citai comme divertissements favoris : la lecture et la conversation.
J’avais compris très tôt aussi que les romans, les nouvelles et les contes ne sont pas des objets étrangers à la vie mais qu’ils l’expriment à leur manière.
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Amine entretient un dialogue avec son père afin de le convaincre d'installer une connexion Internet à domicile
Amine: Voyons père ! Nous sommes les seuls dans le quartier à être privés d'une connexion à domicile. Quand le professeur me charge de faire un exposé, je suis obligé d'aller au cyber du quartier. Ne voyez-vous pas que c'est une perte de temps ?
Père: Pas question ! Veux-tu me faire accroire qu'une connexion à domicile économise le temps ? Au contraire, c'est une véritable perte du temps. Passer une nuit blanche devant l'écran en train de chatter au détriment des devoirs scolaires, que nommes-tu cela ?
Amine: Pas forcément cher père. Il ne faut pas généraliser. L'Internet, je l'avoue, est une arme à double tranchant. Je comprends bien vos soucis cher père. Vous craignez que je ne puisse pas conjuguer l'étude avec les loisirs. Mais, rassurez-vous, je vous promets de bien gérer mon temps.
Père : Je suis d'accord, mais à condition que tu me promettes de bien organiser ton temps. Si jamais tu as une mauvaise note, tu seras impitoyablement sanctionné: Je résilierai l'abonnement sur-le-champ.
Amine: Que vous êtes formidable père !