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Si on ajoute à mon premier la première personne du singulier, on obtient un petit traîneau pour une personne.
Si c'est un petit enfant qui le dit en s'exclamant, c'est mon deuxième.
Si c'est un geste nerveux qu'on ne peut pas s'empêcher de faire, c'est mon troisième.
Si on veut qualifier une personne dont l'humeur change trop souvent, on fait appel à mon tout.
Si c'est un petit enfant qui le dit en s'exclamant, c'est mon deuxième.
Si c'est un geste nerveux qu'on ne peut pas s'empêcher de faire, c'est mon troisième.
Si on veut qualifier une personne dont l'humeur change trop souvent, on fait appel à mon tout.
