L’atmosphère est toujours tendue entre les syndicats du secteur de l’éducation et le ministère de tutelle. La ministre ne détient pas les clés des réponses aux revendications des enseignants (l’on se demande pourquoi....) et ces derniers vont probablement, comme d'habitude, s’adonner à leurs hobbies : les grèves, qui prennent souvent les allures d’un chantage ou d’une manœuvre politicienne prenant les élèves en otage. Ainsi les enfants scolarisés sont déstabilisés et les programmes désorganisés.
Les parents doivent monter au créneau et ne pas prendre leurs distances avec les enseignants et les syndicats pour dénoncer cette pratique « anti pédagogique ». Car, si les revendications sont légitimes, cela ne peut pas justifier le fait que ce soient leurs enfants qui payent la facture.
Outre les conflits récurrents et les arrêts de cours qui en résultent, un autre problème se pose depuis longtemps : la surcharge dans les classes à cause de l’embouteillage créé il y a plusieurs années après la suppression de la classe de 6ème au primaire, donnant ainsi lieu à deux vagues pour un même pallier qui s’est répandu jusqu’à arriver à la 3ème AS de cette année.
Que la rentrée scolaire 2014-2015 s’annonce ordinaire ou extraordinaire, normale ou plus agitée, faisons-la et souhaitons-nous, quand même, une bonne rentrée !
Les parents doivent monter au créneau et ne pas prendre leurs distances avec les enseignants et les syndicats pour dénoncer cette pratique « anti pédagogique ». Car, si les revendications sont légitimes, cela ne peut pas justifier le fait que ce soient leurs enfants qui payent la facture.
Outre les conflits récurrents et les arrêts de cours qui en résultent, un autre problème se pose depuis longtemps : la surcharge dans les classes à cause de l’embouteillage créé il y a plusieurs années après la suppression de la classe de 6ème au primaire, donnant ainsi lieu à deux vagues pour un même pallier qui s’est répandu jusqu’à arriver à la 3ème AS de cette année.
Que la rentrée scolaire 2014-2015 s’annonce ordinaire ou extraordinaire, normale ou plus agitée, faisons-la et souhaitons-nous, quand même, une bonne rentrée !